Joseph T. Ryerson ouvre une petite ferronnerie au bord de la rivière Chicago en 1842. Au début du XXe siècle, l’entreprise étend ses activités jusqu’à New York.
Les stocks de Ryerson s’élargissent pour inclure une gamme complète de produits d’acier inoxydable et d’aluminium. Les politiques et les normes s’officialisent à mesure que l’entreprise devient un géant reposant sur l’excellence du service.
L’industrie est en pleine effervescence. La demande d’acier connaît une croissance avec la construction de chemins de fer et la fabrication d’automobiles. Ryerson ajoute à ses stocks des produits d’alliage et d’acier inoxydable pour répondre aux besoins grandissants de ses clients.
Dans les années 1930, c’est l’avènement de la normalisation de la fabrication. Ryerson établit de nouvelles normes dans l’industrie des centres de service en instaurant un plan d’homologation de l’acier (Ryerson’s Certified Steel Plan) afin de satisfaire aux exigences des clients, qui deviennent de plus en plus soucieux de la qualité des produits.
La croissance se poursuit. Avec l’acquisition de la société J.M. Tull Metals, basée à Atlanta, et d’Integris Metals, Ryerson étend considérablement sa présence et ses capacités. Au terme de cette période de son histoire, Ryerson est l’un des plus grands centres de services métallurgiques au monde ayant réuni un grand nombre de succursales et de capacités sous une même marque de commerce.
Ryerson est l’un des plus grands fournisseurs de métaux et exploite des installations aux États-Unis, au Mexique, au Canada, en Chine et au Brésil. L’entreprise poursuit ses acquisitions stratégiques et investit dans l’ajout de capacités de traitement.